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La Bourse de New York a fini en hausse mercredi, se stabilisant sous l'effet de la détente des taux d'emprunts en Espagne et des résultats trimestriels meilleurs que prévu d'Alcoa: le Dow Jones a pris 0,70% et le Nasdaq 0,84%.

Selon les chiffres définitifs à la clôture, le Dow Jones Industrial Average, qui avait terminé la veille en baisse pour la cinquième séance consécutive, a avancé de 89,46 points à 12.805,39 points et le Nasdaq, à dominante technologique, de 25,24 points à 3.016,46 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 a gagné 0,74% (10,12 points) à 1.368,71 points.

Les cours du pétrole ont terminé en hausse de plus de 1,5% ce soir à New York, interrompant ainsi une série de deux baisses consécutives, à la faveur d'un recul beaucoup plus marqué que prévu des stocks d'essence et de produits distillés aux Etats-Unis.

Sur le Nymex, le contrat mai sur le brut léger américain (WTI) a fini sur un gain de 1,68 dollar, soit 1,66%, à 102,70 dollars le baril. Dans le même temps, le Brent avançait de 0,25%, soit 0,30 dollar, à 120,18 dollars. Les stocks américains de pétrole brut ont augmenté pour la troisième semaine d'affilée la semaine dernière, a annoncé mercredi l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA).

Les stocks d'essence ont en revanche reculé de 4,28 millions de barils à 217,64 millions de barils. Les analystes anticipaient une baisse moins forte de 1,3 million de barils. Les stocks de produits distillés, qui comprennent le fioul domestique et le diesel, ont reculé de 4 millions de barils à à 131,89 millions de barils. Les analystes anticipaient là aussi une baisse moindre, de 200.000 barils.


La Bourse de Paris est parvenue à rebondir modestement mercredi (+0,62%), au lendemain d'un fort repli, dans un marché tiré vers le haut par le secteur bancaire et industriel mais qui n'oublie pas pour autant ses craintes sur l'Espagne.

Le CAC 40 a pris 20,09 points à 3.237,69 points, dans un volume d'échanges de 3,534 milliards d'euros. La veille, il avait cédé 3,08%.

Les autres marchés européens ont suivi la même tendance, Francfort gagnant 1,03% et Londres 0,70%. Par ailleurs, l'Eurostoxx 50 a pris 0,85%.

Malgré un début de séance poussif, le marché parisien a progressivement avancé, encouragé dans l'après-midi par une ouverture favorable de Wall Street, dans une séance dépourvue d'indicateurs majeurs, avant de faiblir un peu en fin de journée.

"C'est un rebond mais toujours avec la même préoccupation qui est celle des taux obligataires", remarque Yves Marçais, vendeur d'actions chez Global Equities.

Le CAC 40 a connu un accès de fièvre mardi à mesure que les taux à 10 ans de l'Espane grimpaient vers les 6%, un niveau qui a ravivé les inquiétudes des investisseurs quand à la capacité du pays à réduire son déficit.

Mercredi, les taux espagnols se sont détendus, une accalmie qui a profité aux actions.

"Le contexte n'a pas changé. Les conditions de financement de l'Italie à court terme ont été relativement mauvaises ce matin par exemple", rappelle pourtant M. Marçais. Rome a vu en effet ses taux d'intérêt bondir lors d'une émission de dette à court terme mercredi matin.

Les marchés ont pu néanmoins bénéficier également de commentaires de Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, qui n'a pas exclu d'éventuels nouveaux rachats de titres de dette espagnole par son institut.

La Commission européenne a de son côté assuré que l'Espagne n'aurait pas besoin d'un plan d'aide financière, soulignant une nouvelle fois les récents efforts consentis par la quatrième économie de la zone euro.

Il reste que "le marché va se focaliser un peu plus sur les chiffres de croissance en Europe et les chiffres du premier trimestre vont être mauvais. Ce n'est pas une bonne nouvelle pour réduire les déficits", résume M. Marçais.

Du coup, selon lui, même si les marchés avaient de bonnes raisons de souffler un peu après trois mois de hausse, "on ne voit pas beaucoup d'élements positifs susceptibles de les relancer".

La saison des résultats américains, qui vient de s'ouvrir avec l'américain Alcoa mardi soir, sera à ce titre surveillée attentivement.

Le géant de l'aluminium Alcoa a dégagé un bénéfice de 94 millions de dollars sur les trois premiers mois de l'année, divisé par plus de trois sur un an mais meilleur qu'anticipé, ce qui a alimenté la hausse du marché mercredi.

Parmi les valeurs, "il est logique que les intervenants repassent à l'achat sur certains titres qui ont été particulièrement touchés", selon Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse.

Les valeurs industrielles ont été à ce titre très recherchées, à l'image de Bouygues (+4,57% à 21,74 euros), Alstom (+4,57% à 27,21 euros), ArcelorMittal (+2,56% à 13,24 euros) et Saint-Gobain (+1,57% à 30,47 euros)..

Après avoir plongé la veille, Areva a pris 6,04% à 12,82 euros et Technicolor 7,85% à 1,65 euro.

De même, les valeurs financières ont profité de la détente des taux espagnols et italiens, à l'image de BNP Paribas (+0,84% à 31,26 euros) et Crédit Agricole (+1,49% à 4,09 euros). En revanche, Société Générale est restée stable à 18,97 euros.

CGGVeritas a pris 4,49% à 20,81 euros après avoir vu le taux d'utilisation effective de ses navires remonter au premier trimestre.

Thales a gagné 1,68% à 26,70 euros. Le groupe va céder ses activités de simulateurs pour avions civils à L-3 Communications, spécialiste américain de l'électronique de défense.

Groupe Crit (travail temporaire) a lâché 5,29% à 16,10 euros malgré l'augmentation de son bénéfice en 2011.

Après avoir perdu plus de 3% mardi, le CAC 40 a avancé de 0,62 % à 3237,69 points. Le marché a été encouragé par des rachats à bon compte et des propos rassurants de la BCE et de la Commission européenne.

La tension reste extrêmement vive sur les marchés financiers. Après la débâcle de mardi, où il avait plongé de plus de 3 %, le CAC 40 a tergiversé pratiquement toute la matinée. Il a finalement grimpé de 0,62 %, à 3 237,69 points. Comme souvent après une sévère correction, les investisseurs ont profité de la faiblesse des cours de Bourse pour se livrer à des achats à bon compte. Mais, depuis ses sommets du mois de mars dernier où il flirtait avec les 3600 points le CAC 40 a lâché près de 10 %, emporté par les craintes de rechute de l’économie mondiale et de contagion de la crise en zone euro. Depuis le début de l’année, le CAC 40 affiche désormais un modeste gain de moins de 2,5 %.

L’ambiance était également fébrile sur les autres grandes places européennes. Londres a finalement avancé de 0,70 %, et Francfort de 1,03 %. Wall Street tentait également de retrouver ses esprits. En séance, le Dow Jones avançait de 0,77 % et le Nasdaq 1,12 %.

Le géant américain de l’aluminium Alcoa, qui ouvert le bal des résultats trimestriels outre-Atlantique, a agréablement surpris. Le groupe a dégagé un bénéfice de 94 millions de dollars sur les trois premiers mois de l’année, alors que les analystes s’attendaient à une perte. Une bonne surprise qui témoigne selon les spécialistes de Saxo Banque «de la force du secteur industriel américain».

En Europe, les marchés ont été encouragés par des propos rassurants de la BCE et la Commission européenne sur l’Espagne. Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, a estimé que la récente envolée des taux espagnols n’était «pas justifiée». La Commission européenne a de son coté assuré que l’Espagne n’aurait pas besoin d’aide financière, saluant une nouvelle fois les récents efforts consentis par la quatrième économie de la zone euro, comme «la très importante réforme du marché du travail».

«Les marchés à un tournant»

Malgré le montant des liquidités fournies par la BCE, les banques rechignent à prêter. Le symptome d’un environnement récessionniste, qui incite ce stratège à la prudence sur les actions…

Ingénieur de formation et membre du Cercle Turgot, Pierre Sabatier s’est spécialisé en finance de marchés et en gestion d’actifs avant de fonder en 2009 PrimeView, un cabinet de recherche économique et financière dont il est aujourd’hui président.

LE FIGARO BOURSE - Alors que la BCE a injecté 1.000 milliards d’euros via les facilités offertes aux banques sous la forme des LTRO, les taux d’intérêt remontent dans plusieurs pays de la zone euro. Est-ce l’échec de ces opérations?

Pierre Sabatier - La crise qui s’est déroulée sur les marchés en 2011 était liée aux craintes de faillites bancaires dans l’éventualité du défaut d’un ou de certains Etats. Pour remédier à ce genre de peur, soit vous annoncez comme aux Etats-Unis que la banque centrale va racheter des obligations d’Etat, soit vous vous engagez à fournir quasi-gratuitement des liquidités aux banques - éloignant de facto toute probabilité de faillite. Ainsi on a résolu les contraintes de liquidité, évitant une crise de type Lehamn Brothers, mais ce n’est qu’une partie du problème. Bercés jusqu’ici par l’éloignement de la crise bancaire, les investisseurs se sont brusquement rappelé que la question de la solvabilité, c’est-à-dire de l’endettement, demeurait entière.

Vous notez que l’essentiel des fonds injectés a été redéposé à la BCE, plutôt que réinjecté dans les prêts à l’économie. Peut-on en faire reproche aux banques?

Même si les banques étaient disposées à prêter, les ménages, les entreprises et souvent les Etats eux-mêmes ne sont guère enclins à s’endetter davantage: tout le monde cherche plutôt à diminuer ses dettes. Et cette phase de résorption de l’endettement débute à peine. Les établissements bancaires se trouvent entre deux eaux: d’un côté ils subissent avec Bâle III une forte pression réglementaire pour réduire leur prise de risques, d’autre part on leur demande de continuer à prêter pour soutenir une économie atone…

Combien de temps peut durer cette phase de désendettement des différents agents économiques?

En Europe la situation est très voisine de celle qui prévaut au Japon depuis le début des années 1990, avec en outre une similarité de la pyramide démographique… Le vieillissement de la population étant un facteur aggravant. Historiquement, la durée de ces cycles de désendettement se situe entre 8 et 23 ans. Dès lors, nous ne pensons pas que les marchés peuvent redevenir directionnellement haussiers. L’environnement d’expansion économique a pris fin en 2008 et désormais il va falloir se partager un gâteau dont la taille ne grandit que très faiblement. Cette perspective n’est pas catastrophique, mais elle impose d’avoir des attentes beaucoup plus raisonnables qu’au cours des trois dernières décennies. Alors que toutes les classes d’actifs progressaient jusqu’à présent concomitamment, il y aura désormais une rotation entre elles en fonction du degré de risque perçu. Les indices d’actions pour leur part suivront vraisemblablement une évolution en tôle ondulée. Dans ce cadre, après + 30 % depuis les creux de l’automne, il était raisonnable de prendre des bénéfices…


«La situation des marchés a atteint un tournant» et «reste très fragile» a toutefois prévenu Benoît Coeuré. Pour preuve, Rome, a vu ses taux d’intérêt bondir lors d’une émission de dette à court terme. Une très mauvaise nouvelle pour l’Italie, qui contrairement à l’Espagne est en retard sur son programme de financement pour 2012. A fin mars, le pays avait couvert moins d’un quart de ses besoins à moyen et long terme.

Les banques ont connu une nouvelle séance sous haute tension. Elles sont finalement reparties à la hausse, soutenues par des achats à bon compte et par une note favorable des analyste de HSBC qui ont relevé leur recommandation sur l’ensemble du secteur européen à «surpondérer» contre «neutre» auparavant. Crédit Agricole a grimpé de 1,49 %, suivi par BNP Paribas (+0,84 %).

Les valeurs industrielles, particulièrement malmenées la veille, profitait d’un rebond technique. Peugeot s’est ainsi octroyé 2,14 %, suivi par Legrand (+1,94 %) et Saint-Gobain (+1,57 %).

Alstom s’est adjugé 4,29 %. Le groupe envisage avec le Fonds stratégique d’investissement (FSI), bras financier de l’État, de racheter conjointement 85 % du fabricant de tramways sur pneus Translohr.

EADS a grimpé 0,76 %. Sa filiale Airbus a vendu onze appareils long-courriers à la compagnie indonésienne Garuda pour un montant de 2,5 milliards de dollars au prix catalogue.

Areva a rebondit de 6,20 %. Luc Oursel, le PDG du groupe a estimé que rien ne justifie la baisse du cours ces dernières semaines. Areva avait chuté de plus de 40 % depuis la deuxième quinzaine du mois de mars.

Valeurs à suivre

Bouygues (+4,47 % à 21,72 euros). Le groupe a annoncé mardi soir le rachat du groupe britannique de construction Thomas Vale, pour un montant non précisé. Thomas Vale, qui emploie plus de 700 personnes, devrait réaliser un chiffre d’affaires de plus de 200 millions de livres (242,5 millions d’euros) sur l’exercice financier clos fin mars.

Nyse Euronext (-1,10 % 21,13 euros). La Bourse transatlantique a subi une baisse de ses volumes de transactions en mars sur un an en Europe et aux États-Unis, tant sur ses marchés au comptant que sur les dérivés.

CGG Veritas (+4,29 % à 20,77 euros). La société de services pétroliers spécialisée dans la recherche sismique a annoncé que le taux de disponibilité des navires s’était établi à 84 % au premier trimestre. Il se compare à un taux de disponibilité des navires de 81 % au premier trimestre 2011 et de 81 % au quatrième trimestre 2011.

Technip (+0,98 % à 83,29 euros). Le groupe d’ingénierie pétrolière a remporté un contrat auprès du groupe pétrolier nippon Inpex pour le développement du champ gazier géant Ichthys en Australie, a-t-il annoncé mercredi dans un communiqué.

EDF (+0,73 % à 16,63 euros). La question du maintien à son poste d’Henri Proglio, PDG d’EDF, se posera en cas de victoire de François Hollande à l’élection présidentielle, a estimé mardi Michel Sapin lors d’un entretien accordé à Reuters.


Enfin, PSB Industries a terminé stable à 27,00 euros, après avoir réaffirmé ses prévisions de croissance pour l'exercice, en dépit d'une contraction de 1,2% de ses ventes au premier trimestre.

Alors que la saison des résultats trimestriels débute, les investisseurs avancent avec prudence car "l'économie américaine n'est pas sortie d'affaire", a commenté Lindsey Piegza, économiste chez FTN Financial.

"Ces derniers mois, on était de plus en plus optimistes pour la croissance, la création d'emplois", mais le retour des inquiétudes pour l'Europe montre que "nous faisons toujours face à des obstacles de taille", a-t-elle remarqué.

Toutefois le marché continue à croire que "la saison des résultats ne sera pas si décevante" car "la consommation a été soutenue au premier trimestre", a dit l'économiste, soulignant que les investisseurs lorgnaient les "milliards de dollars" mis de côté par nombre de fonds d'investissement en attendant de meilleures conditions.

Ainsi, le géant de l'aluminium Alcoa (+6,22% à 9,90 dollars) a ouvert mardi soir le bal de la saison des résultats avec brio en publiant des résultats meilleurs qu'attendu avec un bénéfice de 94 millions de dollars au premier trimestre. Il sera suivi jeudi par Google.

Le rebond de mercredi a par ailleurs été alimenté par le recul des taux obligataires en Espagne, ont souligné les analystes.

Cet apaisement fait suite aux propos jugés rassurants de la Banque centrale européenne (BCE) sur l'Espagne. Un dirigeant de l'institution de Francfort n'a ainsi pas exclu d'éventuels nouveaux rachats de titres de dette espagnole par la BCE. Il a également estimé que la récente envolée des taux d'emprunt du pays n'était pas justifiée au vu des fondamentaux de son économie.

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