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Wall Street évoluait à l'équilibre à la mi-séance mercredi dans un marché qui, après trois séances portées par les espoirs de résolution en Europe, levait le pied et décortiquait les actions menées en zone euro: le Dow Jones prenait 0,33% et le Nasdaq cédait 0,19%.

La réduction de la taille du bilan permet à une banque de renforcer automatiquement sa solidité financière, puisque celle-ci se mesure en comparant le montant de ses fonds propres au montant des prêts qu'elle a accordés.

BNP Paribas prévoit plus spécifiquement de réduire ses activités spécialisées dans les prêts hypothécaires dans plusieurs pays d'Europe, et dans le courtage des prêts hypothécaires en France.

Le Crédit Agricole a lui annoncé mercredi vouloir diminuer son endettement de 50 milliards d'euros entre juin 2011 et décembre 2012. Il va réduire le besoin de financement de son pôle de banque de financement et d'investissement et celui de ses services financiers spécialisés.

Mais c'est sa banque de détail, qui prête aux particuliers et aux PME, qui va le plus contribuer à ce programme de désendettement, avec une économie souhaitée de 21 à 23 milliards d'euros.

Que ces activités-ci, dont dépendent par exemple les crédits à la consommation, soient concernés n'est "pas positif a priori pour l'économie", s'inquiète M. Flabbée.

Du point de vue des marchés, ces mesures sont toutefois "un élément de réponse", selon lui, même si "elles ne règlent pas tout", souligne l'analyste.

"Il y aura d'autres étapes à franchir", ajoute-t-il. Car en dépit des multiples démentis, les rumeurs de recapitalisation par l'Etat ont la peau dure sur les marchés.

Les trois établissements bancaires s'y opposent fermement et se targuent d'atteindre en 2013 un ratio de fonds propres "durs" (capital social et bénéfices mis en réserve) d'au moins 9%, plus que prévu à cette date par le nouveau cadre réglementaire dit Bâle III.

Mais pour Eric Delannoy, du cabinet Weave, "il n'y a rien qui puisse rassurer les marchés", pris dans un cercle sans fin d'irrationnalité, à part peut-être une décision des gouvernements européens.

Selon lui, les problèmes de financement en dollars ne sont pas la cause réelle des mesures prises par les banques, mais le déclencheur pour mettre en oeuvre des projets destinés à remplir les objectifs de Bâle III.

"Les banques françaises ont juste pris de l'avance", en cherchant à se dégager en particulier de leurs activités auprès des grandes entreprises.

Mais au vu de la fébrilité des marchés, qui ignorent les bons résultats financiers, cette démarche pourrait bien "être interprétée, à tort, comme un aveu de faiblesse".

Vers 16H20 GMT, le Dow Jones Industrial Average montait de 36,86 points à 11.227,55 points tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, abandonnait 4,79 points à 2.542,04 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 s'effritait de 0,09% (0,89 point) à 1.174,49 points.

Avec seulement 17 joueurs à disposition dont les trois jeunes Sabo, Gadi et Omrani, Didier Deschamps n'a pas eu besoin de se creuser beaucoup les méninges pour composer son onze de départ. Une surprise s'est malgré tout glissée dans l'équipe qui débutera contre Dortmund (20h45) : Charles Kaboré a été préféré à Morgan Amalfitano pour muscler le milieu de terrain marseillais. L'international burkinabais sera associé à Alou Diarra à la récupération. En l'absence de Fanni, suspendu, Azpilicueta retrouve sa place dans le couloir droit de la défense phocéenne. Sans surprise, le secteur offensif sera animé par le trio Valbuena-Rémy-Ayew.

Mardi, Wall Street avait fini en hausse pour la troisième séance de suite, espérant une intervention des dirigeants européens pour muscler le Fonds européen de secours de la zone euro (FESF): le Dow Jones avait pris 1,33%, le Nasdaq 1,20% et le S&P 500 1,07%.

En hausse à l'ouverture mercredi, les indices de la place new-yorkaise ont rapidement effacé leurs gains, évoluant autour du point d'équilibre une grande partie de la matinée.

"Le marché est très calme. Il a tellement progressé ces derniers jours qu'il reprend son souffle et consolide ses gains", a constaté Mace Blicksilver, de Marblehead Asset Management.

Rassurer des marchés sceptiques sur leur solidité financière tout en faisant le dos rond aux rumeurs de recapitalisation par l'Etat: telle est la position adoptée par trois des principales banques françaises, qui vont notamment céder des actifs.

Victimes de chutes vertigineuses à répétition en Bourse, BNP Paribas, la Société Générale et le Crédit Agricole ont annoncé à tour de rôle et en l'espace de quinze jours, ces mesures orientées dans la même direction.

En cause, la défiance de plusieurs grands pourvoyeurs de liquidités en dollars, inquiets de la crise de la dette souveraine en zone euro, qui ont réduit depuis le début de l'été leur financement aux banques européennes.

Et les banques françaises sont de grandes amatrices de financements en dollars.

Face à la dégringolade de leurs titres (la valeur en Bourse de ces établissements a été divisée par deux depuis juillet), elles ont décidé de "réduire la voilure", selon Pierre Flabbée, analyste de Kepler Capital Markets.

Elles "tirent la conclusion que l'accès à certaines sources de financement en dollars sont durablement perdues", estime l'économiste.

La Société Générale prévoit ainsi une réduction de 5% de la base de coûts en banque de financement et d'investissement, son activité tournée vers les grandes entreprises, ainsi que l'accélération des cessions de titres, américains pour l'essentiel.

A l'instar de ses consoeurs, elle compte également poursuivre la réduction de la taille de son bilan afin de limiter ses besoins de financement en 2012.

"Du fait que ce sera la fin du mois et du trimestre vendredi, il y a beaucoup d'ajustements de portefeuilles, c'est ce qui maintient le marché. Les gestionnaires de fonds veulent afficher de bonnes performances", a-t-il ajouté.

Du point de vue de l'actualité, "ce qui se passe en Europe continue d'occuper le centre de l'attention", a relevé l'analyste.

Comme le dit l'expression à la mode, mission accomplie pour l'OL. « L'objectif, c'était de bonifier le point pris à Amsterdam. On a bien fait le boulot. On a été récompensés par une belle victoire », résume Briand. Au résultat, les Lyonnais sont conscients d'avoir ajouté la manière, surtout en première période. A l'instar des victoires devant Marseille (2-0) et Bordeaux (3-1), Lyon a fait la différence très rapidement avant de gérer après le repos. « On voulait mettre sous pression cette équipe du Dinamo dès le début et convertir nos occasions », souligne Briand. « On a baissé de niveau dans tous les secteurs de jeu et on doit encore s'améliorer au niveau de la possession du ballon, regrette Lloris. Mais il faut aussi se satisfaire de ce que nous sommes en train d'accomplir. Ce qui est intéressant, c'est que nous montons toujours en puissance. »

Le scénario de ce succès a été écrit en grande partie par le chef d'oeuvre de Gomis. « Cela a créé des espaces et libéré un peu le match », confirme Cissokho. Les Lyonnais ont été prolixes sur le geste génial de leur avant-centre. « En ce moment, il plane un peu, il marche sur l'eau, s'emballe Briand. On est très contents pour lui. Nous, on se met minables pour qu'il ait des situations et puisse briller. » « Sur le banc, on se disait qu'il avait mal au genou et qu'il fallait faire rentrer Ishak (Belfodil) et dans la seconde qui suit, il met un super but ! », s'exclame Lacazette pendant que Lloris insiste pour dire que « Bafé profite du travail de tout le monde mais ce but, il ne le doit qu'à son talent ».


Les bailleurs de fonds de la Grèce ont décidé de revenir jeudi dans le pays, ouvrant la voie au versement des 8 milliards d'euro de prêts dont Athènes a absolument besoin pour éviter de faire défaut.

La Finlande vient en outre d'adopter le renforcement du FESF. Le vote d'Helsinki n'était pas complètement acquis en raison de la montée de l'euroscepticisme dans le pays.

Les investisseurs restent cependant prudents avant le vote, prévu jeudi, des députés allemands sur la même question.

"Tant qu'il n'y aura pas davantage de conviction dans les achats (sur les marchés) et plus de clarté en Europe, la volatilité devrait rester élevée", a pronostiqué Sameer Samana, de Wells Fargo Advisors.

Sur le front américain, les commandes de biens durables ont baissé de 0,1% en août, alors que les analystes les attendaient en hausse de 0,1%. Point encourageant: les commandes de biens d'équipement hors défense et aviation ont rebondi de 1,1%.

Le marché saluait la nouvelle tablette numérique du distributeur en ligne Amazon. Présentée par des analystes comme l'un des futurs succès "high-tech" de Noël, la Kindle Fire faisait gagner 4,44% au titre Amazon à 234,17 dollars.

Le fabricant Apple, qui domine actuellement le marché avec son iPad, prenait 0,62% à 401,74 dollars.

Microsoft prenait 1,50% à 26,05 dollars. Le groupe informatique a conclu un accord avec le géant sud-coréen de l'électronique Samsung Electronics sur un échange entre les portefeuilles de brevets des deux sociétés.

« C'est un but vraiment joli, à la Messi !, a même osé Lovren. Il est vraiment en top forme ! » « C'est la marque d'un joueur en confiance et qui tente des choses. Ce sont les fruits du travail effectué à l'entraînement notamment lors de séances spécifiques avec Gérald (Baticle) », conclut Garde, pour qui ce résultat n'élève pas les ambitions lyonnaises. « Chaque chose en son temps. La victoire nous donne des points et des repères dans ce groupe mais elle ne change pas la physionomie de la double confrontation à venir contre le Real. »

Le groupe de conseils et services informatiques Accenture s'adjugeait 2,87% à 55,19 dollars. Il a publié des résultats trimestriels et des prévisions meilleurs que prévu, prévoyant une "forte demande pour ses services".

Dans les services pétroliers, Halliburton cédait 1,37% à 33,99 dollars. Une commission d'arbitrage l'a condamné à verser 200 millions de dollars à une filiale de la compagnie d'Etat brésilienne Petrobras dans une affaire liée au développement de champs pétroliers.

Le conglomérat industriel United Technologies (-0,31% à 72,92 dollars) a annoncé la cession d'une filiale singapourienne de sa branche UTC Fire and Security, spécialisée dans les services de garde, pour un prix non précisé.

Le marché obligataire baissait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans progressait à 2,055% contre 2,016% mardi soir et celui à 30 ans à 3,140% contre 3,116% la veille.

Ancien directeur d'Amaury Sport (1994-2000) puis directeur général de la Fédération française de Tennis (2001-2006), ce diplômé de l'université de Harvard aura pour première mission la création d'un nouveau centre d'entraînement pour remplacer le Camp des Loges. Un défi compliqué mais que l'homme connaît, lui qui est à l'origine du stade flambant neuf dans lequel évoluent les Bianconeri. Il remplacerait Benoît Rousseau, le président intérimaire et Philippe Boindrieux, l'actuel DG. La nouvelle devrait être officialisée dans les prochains jours.

Wall Street se montre aussi hésitant à la mi-séance que les places européennes l'étaient quelques heures plus tôt.
Il n'y a tout simplement pas de tendance identifiable puisque le Dow Jones grappille +0,3% tandis que le 'S&P' ou le Nasdaq s'effritent d'autant.

Le CAC40 en a terminé pratiquement au niveau d'ouverture (-0,92% à 2.995Pts contre 2.990 à 9H01) dans des volume particulièrement modestes de 3,15MdsE (après 3,9MdsE lundi et 4MdsE mardi).
Ce sont les valeurs cycliques et industrielles qui ont pâti des dégagements bénéficiaires (Goldman Sachs a dégradé Peugeot et Renault) après l'envolée de 5,75% de la veille.

Les places européennes ont longtemps hésité avant de s'orienter résolument à la baisse, Wall Street ne parvenant pas à préserver ses gains initiaux: les indices US ont basculé dans le rouge après une heure de cotations puis sont revenus à l'équilibre vers 17H45... avant de fléchir de nouveau une heure plus tard.

Les chiffres du jour ont eu peu d'impact sur la tendance (croissance nulle en France confirmée au 2ème trimestre, +0,9% en rythme annuel) et le marché a réagi négativement à la publication d'une baisse de 0,1% des commandes de biens durables aux Etats-Unis au mois d'août à 14H30.

C'est plutôt mieux que prévu mais les analystes y ont vu le verre à moitié vide : ils anticipaient un recul de -0,2% après une envolée de 4,1% en juillet, sous l'effet d'une grosse commande adressée à Boeing.

L'Europe continue de fournir le fil conducteur de la tendance sur les marchés: l'essentiel des mouvements boursiers s'enchaînent au gré des rumeurs plaidant ou non en faveur de la mise en place d'un mécanisme de rachat de dettes souveraines qui contournerait le veto allemand à l'extension du FESF ou la monétisation des créances douteuses par la BCE.

'Nous ne pouvons parler que de rebonds techniques et nous restons dans des marchés de flux', prévenaient mercredi matin les gérants de Barclays Bourse.

L'un des signaux techniques les plus positifs réside dans la bonne tenue de l'euro (+0,3%) qui confirme sa remontée face au billet vert à 1,3630$.

Les investisseurs en ont peu tenu compte et ont souvent réagi à la publication d'études négatives (il n'y a plus que cela sur les valeurs du CAC40 depuis début septembre) concernant le secteur automobile ou parapétrolier.
Comme par hasard, les abaissements de recommandations et d'objectifs de cours s'acharnent sur des valeurs qui ont déjà perdu 50% ou plus en 6 mois... les analystes semblent toujours être à la remorque de la tendance.

Vallourec dégradé par ODDO la veille rechute de -5,5% (retour à la case départ) et CGG Veritas a replongé de -7,8%. Toujours sur la même thématique parapétrolière, Maurel et Prom lâchait -3,5% et Bourbon -3,8%.

Lourde rechute également d'Alstom (-4,75%), Eramet (-4,7%), Arcelor (-3,8%) puis du compartiment automobile avec Renault et Faurecia (-3,3%) puis Peugeot (-3,2%).

L'organigramme du Paris-Saint Germain devrait connaître dans les prochains jours un dernier remaniement, avec l'arrivée de Jean-Claude Blanc en tant que directeur général, comme l'annonce Le Parisien. Libre depuis son départ de la Juventus à la fin de l'été, il se verrait confier l'ensemble du secteur financier et administratif du club de la capitale. Le domaine sportif resterait évidemment entre les mains de Leonardo. Les deux hommes se connaissent par ailleurs très bien depuis le passage du Brésilien à la tête du Milan AC pendant que Jean-Claude Blanc redressait la Juve après sa relégation en Série B.

Les défensives ont été épargnées à l'image d'Essilor (+1,4%), EDF (+0,95%), Sanofi (stable) mais c'est AXA qui termine en pole position avec +1,9%.
Au sein du SBF-120, Steria engrangeait +5%, Derichebourg +4,3%, Altran et Plastic Omnium +3,6%.

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