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Les ministres des Finances des 27 pays de l'Union européenne se sont mis d'accord mardi pour réguler les produits dérivés, accusés d'avoir contribué à la crise sur les marchés financiers, suite à un compromis avec la Grande-Bretagne qui traînait des pieds.

"Une étape très importante a été franchie avec cet accord unanime des ministres des Finances sur la régulation", a déclaré à la presse le commissaire européen chargé du secteur des services financiers, Michel Barnier, à l'issue de la réunion ministérielle à Bruxelles.

"Nous sommes dans les temps pour respecter nos engagements au sein du G20" sur ce sujet, s'est-il réjoui, ajoutant qu'il espérait parvenir "dans quelques jours" à un accord sur la question avec le Parlement européen, appelé aussi à co-décider.

"Il fallait réguler ces produits dérivés parce que certaines faillites ont révélé les dysfonctionnements de ce marché", a souligné le commissaire européen, rappelant que "80% des échanges se font de gré à gré, échappent donc à tout contrôle et sont des facteurs de risque pour tout le système".

Bruxelles veut obliger tous les produits dérivés, y compris ceux échangés de gré à gré, à passer par des chambres de compensation, des organismes qui assurent le bon déroulement des opérations et jouent le rôle de fonds de garantie.

Les produits dérivés de gré à gré avaient été pointés du doigt pour leur opacité durant la crise de 2008-2009 partie des Etats-Unis et de l'effondrement du marché des subprimes.

La Bourse de Paris a terminé dans le rouge mardi (-0,47%), inquiète de la lenteur des discussions sur la réduction de la dette grecque, et déçue par des publications d'entreprises mitigées.

A la clôture, l'indice CAC 40 a cédé 15,77 points pour s'inscrire à 3.322,65 points dans un volume d'échanges peu étoffé (2,85 milliards d'euros traités).

A Londres, le Footsie a perdu 0,53% et à Francfort le Dax a cédé 0,27% alors que l'Eurostoxx 50 lâchait 0,38%.

"Des négociations plus compliquées que prévu sur la réduction de la dette grecque et des publications d'entreprises décevantes, autant au niveau des marges que des chiffres d'affaires, ont pesé sur le marché parisien", a résumé Stéphane Prévost, gérant actions et directeur général à la Financière Responsable.

L'accord entre banques privées et gouvernement grec pour réduire la dette de ce pays n'est plus imminent comme le pensait le marché, encore la semaine dernière. Les boursiers qui depuis le début de l'année étaient plutôt optimistes sur la Grèce, sont rattrapés par les inquiétudes, d'autant que le temps presse. Le 20 mars la Grèce doit rembourser 14,4 milliards d'euros de prêt et doit avoir, avant cette date, conclu un accord avec ses banques créancières. Si tel n'était pas le cas le défaut de paiement sera inévitable.

A cette inquiétude, s'ajoutent des mauvaises nouvelles sur le plan microéconomique avec notamment les résultats décevants de Siemens, un des grands conglomérats mondiaux qui a affiché un recul de ses bénéfices et des entrées de commandes au premier trimestre de son exercice 2011/2012.

"Ces résultats décevants tout comme ceux de STMicroelectronics sont une des conséquences de la crise de la dette dans laquelle se débat l'Europe depuis deux ans", a souligné M. Prévost.

L'incertitude sur les résultats des entreprises s'accroît, a-t-il ajouté.

L'agence en a finalement dégradé trois: Société Générale, Crédit Agricole et BPCE voient leurs notes abaissées de "A+" à "A", assorties d'une perspective stable.

BNP Paribas échappe au couperet. La première banque hexagonale et deuxième de la zone euro voit sa note de long terme confirmée à "AA-". Mais celle-ci reste assortie d'une perspective "négative", ce qui implique qu'un abaissement reste possible à moyen terme.

A 11H30 locales, BNP Paribas reculait de 1,66% à 35,45 euros. La chute était plus marquée pour Société Générale (-4,56% à 21,76 euros), Crédit Agricole (-3,18% à 5,04 euros) et Natixis (- 5% à 2,28 euros), dont BPCE est la maison mère, dans un marché où le CAC 40 se repliait de 0,71%.

"Les annonces de l'agence étaient largement intégrées par le marché et le secteur bancaire qui avait fortement progressé ces dernières séances est surtout victime de prises de bénéfices", a tempéré Jérôme Vinerier, analyste chez IG Markets.

"Standard & Poor's s'est contenté d'appliquer mécaniquement ses critères d'évaluation", a souligné Pierre Flabbée, spécialiste du secteur chez Kepler.

La note de BNP Paribas est la quatrième meilleure possible sur l'échelle de SP, ce qui en fait l'une des banques européennes les mieux notées et l'une des rares à conserver un "double A". SP a toutefois prévenu qu'elle perdrait ce rang en cas de nouvel abaissement de la note de l'Etat français.

L'agence précise aussi que les notes de BNP Paribas, Société Générale, BPCE et Crédit Agricole SA seraient inférieures d'un cran si ces établissements n'étaient assurés d'un soutien indéfectible des pouvoirs publics en cas de difficultés.

Société Générale a vu dans l'abaissement de sa note "une conséquence directe de la méthodologie de SP, qui intègre à notre note long terme un facteur de soutien systémique de l'Etat français". "Comme tel, il a déjà été largement anticipé par les investisseurs", a estimé la banque.

SP a indiqué tabler sur des résultats 2011 et 2012 "satisfaisants" pour Société Générale, "même s'ils seront amoindris".

Les investissements directs étrangers (IDE) ont bondi de 17% l'an dernier dans le monde malgré la crise, en raison principalement d'une forte hausse des fusions-acquisitions, montre un rapport des Nations unies publié mardi. Ces investissements, en hausse pour la deuxième année d'affilée, se sont élevés à 1.509 milliards de dollars, soit 28% de plus qu'il y a deux ans, mais 23% de moins que lors du pic de 2007.

Les dépenses en fusions et autres OPA ont grimpé de près de 50% pour atteindre 507,3 milliards de dollars, tandis que les investissement ex-nihilo ont reculé de 3,3% à 780,4 milliards de dollars. Les pays en développement ont été l'objet d'investissements records. La Chine, deuxième destination pour les investissements directs étrangers, a reçu 124 milliards de dollars. Les IDE en Inde ont augmenté de 38% après une grosse baisse en 2010, mais restent loin derrière ceux de la Chine à 34 milliards de dollars.
Les flux vers l'Amérique latine ont augmenté de 35% à 216,4 milliards de dollars.

Les flux vers les pays émergents ont augmenté pour la première fois en trois ans. Ils sont en hausse de 18% à 753 milliards de dollars, porté par une hausse de 23% des investissements en Europe. Les investissements vers les Etats-Unis, première destination, ont reculé de 7,7% à 210,7 milliards de dollars.

Dans le cas de Crédit Agricole, l'agence se dit convaincue que le groupe va assainir ses comptes et qu'il dispose de ressources suffisantes pour compenser d'éventuelles pertes supplémentaires en Grèce.

Pour BPCE, dont les filiales Crédit foncier de France (CFF) et Natixis sont également dégradées, SP table sur des revenus 2011 et 2012 en-deçà de son potentiel, mais qui devraient permettre "une amélioration graduelle de ses ratios de capital". Selon elle, une éventuelle nouvelle dégradation d'un cran de la note de la France ne devrait pas affecter celle de BPCE.

Tel n'est pas le cas pour la Caisse des dépôts, dont la note est alignée à "AA+" sur celle de la dette souveraine française, avec la même perspective négative. "Tout changement de la note souveraine de la France ou de sa perspective aurait pour conséquence immédiate un changement similaire pour la CDC", a prévenu SP.

'agence de notation Standard and Poor's (SP) a abaissé d'un cran les notes des trois grands groupes bancaires français Société Générale, Crédit Agricole et BPCE et privé de son "triple A" la Caisse des dépôts, bras armé financier de l'Etat.

Cette série de décisions, annoncée mardi, est la conséquence directe de la dégradation de la note souveraine de la France, privée le 13 janvier par SP du "AAA", la meilleure note possible sur l'échelle des agences d'évaluation financière.

Selon des analystes, elle avait été anticipée depuis plusieurs jours par les marchés, même si les valeurs bancaires étaient tirées vers le bas dans la matinée à la Bourse de Paris.

SP avait annoncé le 5 décembre qu'elle envisageait d'abaisser la note de 15 des 17 pays de la zone euro, dont la France. Deux jours plus tard, elle avait par ricochet placé sous surveillance négative les grands établissements bancaires du pays.


Les dernières prévisions du Fonds monétaire international (FMI) n'ont pas redonné le moral aux investisseurs. Selon le FMI, la croissance mondiale devrait tomber à 3,3% en 2012, alors qu'en septembre le Fonds tablait sur 4,0%.

La Bourse de New York clôture sans direction ce mardi. Le Dow Jones perd 0,26% à 12,675,75 points, le S&P 500 perd 0,10% à 1314,63 points tandis que le Nasdaq grappille 0,09% à 2786,64 points.

En Europe, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires Olli Rehn a indiqué s'attendre à une "récession modérée" au premier semestre de cette année.

Enfin la dégradation des banques par l'agence d'évaluation financière Standard and Poor's a aussi pesé sur la tendance, en faisant dégringoler leur cours. Le secteur bancaire a été, par ailleurs, victime des incertitudes entourant la situation en Grèce.

BNP Paribas, dont la note a été confirmée par SP, a reculé de 1,83% à 35,39 euros. La Société Générale a décroché plus nettement -5,39% à 21,57 euros et le Crédit Agricole a perdu 4,07% à 5 euros, SP ayant abaissé la note de ces deux établissements à "A", avec perspective stable.

STMicroelectroncis a été la valeur la plus sanctionnée du CAC 40 (-5,83% à 5,3 euros). Le titre a été pénalisé par des résultats annuels en repli, la prudence de ses dirigeants pour 2012 et des incertitudes sur le redressement de sa filiale ST-Ericsson.

Alstom a perdu 2,81% à 28,89 euros, affecté par les résultats décevants de Siemens sur le premier trimestre de son exercice 2011/12.

Les Bourses, qui avaient vivement rebondi la semaine dernière, ont fait une pause. Le CAC 40 s’est enfoncé de 0,47 % à 3322,65points.

Signe de la frilosité des investisseurs, les volumes fondent. Moins de 2,5 milliards d’euros ont changé de mains sur les grandes valeurs françaises.

Les autres grandes places européennes étaient sur la même ligne. Londres a terminé en baisse de 0,53 %, l’indice Footsie finissant à 5751,9points, et Francfort a cédé 0,27 %, à 6 419,22 points. L’indice européen Euro Stoxx 50 a perdu 0,53 %. Wall Street, qui navigue sur des sommets inconnus depuis plus de six mois, marquait également le pas. En séance, le Dow Jones reculait de 0,30 % tandis que le Nasdaq grappillait 0,09 %. Tandis que la saison des résultats bat son plein, les bénéfices des entreprises américaines se sont révélés mitigés. Le géant pharmaceutique Johnson and Johnson a vu son bénéfice net chuter de plus de 27 % en 2011 tandis que les profits de McDonald’s ont grimpé de 11 % l’an dernier.

En Europe, l’attention était toujours monopolisée par le dossier grec.

La Grèce est de nouveau lancée dans une course contre la montre pour éviter la faillite, sommée par ses partenaires de la zone euro d’obtenir rapidement des conditions plus favorables de la part de ses créanciers privés et de lutter plus activement encore contre ses déficits chroniques. La réunion de l’Eurogroupe s’est fixé en effet une date butoir, celle du 13 février, avant laquelle Athènes doit trouver une issue pour lancer, à temps, l’offre publique d’effacement d’une partie de la dette. Une échéance qui impose de boucler les négociation avec les créanciers privés avant la fin de la semaine prochaine.

Le dossier hongrois pourrait également revenir sur le devant de la scène. Les grands argentiers européens ont en effet ouvert la voie à des sanctions inédites si Budapest ne prend pas des mesures drastiques pour réduire son déficit public. Visiblement décidés à éviter de nouveaux dérapages, les ministres des Finances des 27 pays de l’Union européenne se sont également mis d’accord pour réguler les produits dérivés, accusés d’avoir contribué à la crise sur les marchés financiers.

Dans ce contexte déjà très tendu, le Fonds monétaire international a dressé un tableau particulièrement sombre de la situation économique de la planète. Selon l’institution, la croissance mondiale devrait chuter à 3,3 % en 2012 et la zone euro retomber en récession (-0,5 %). La France et l’Allemagne connaîtraient respectivement une croissance de 0,2 % et de 0,3 % cette année.

Seule bonne nouvelle du jour, l’accalmie sur le marché de la dette publique se confirme. Madrid a levé plus de 2,5 milliards d’euros en bons à trois et six mois, profitant pour la septième fois consécutive de taux d’intérêt en forte baisse.

Les valeurs bancaires en baisse

À Paris, les opérateurs choisissaient d’empocher une part de leurs bénéfices sur les valeurs bancaires qui avaient conduit la hausse ces derniers jours. D’autant que Standard & Poor’s a dégradé d’un cran les notes de Société Générale (-5,39 %) et de Crédit Agricole (-4,07 %), tout en laissant inchangée celle de BNP Paribas (-1,83 %). Cette annonce qui s’inscrit en droite ligne de la perte du triple A français était largement attendue.

Valeurs à suivre

L’action Soitec(+9,18 % à 4,83 euros) signe la plus forte hausse de l’indice SBF 120, le fabricant de plaques de silicium sur isolants (SOI) ayant annoncé un renforcement de son partenariat avec Sumitomo Electric Industries.

Hier après clôture de la Bourse de New York, STMicroelectronics (-5,83 % à 5,3 euros) a fait état d’un recul plus marqué que prévu de son chiffre d’affaires et de ses marges au quatrième trimestre 2011, en raison du ralentissement de l’économie qui pesé sur le marché des semi-conducteurs, tendance qui devrait perdurer au cours des premiers mois de 2012.

Alstom(-3,02 % à 28,75 euros) pourrait réagir aux résultats trimestriels décevants de Siemens, pénalisé par un ralentissement de la conjoncture se traduisant par un recul significatif de ses entrées de commandes.


A l'inverse de la tendance, Soitec a bondi de 9,65% à 4,85 euros dopé par l'annonce du lancement d'un programme pilote avec le japonais Sumitomo dans les LED.

En hausse également, les valeurs liées aux collectivités locales avec Veolia Environnement qui a pris 3,45% à 8,22 euros, GDF Suez (+2,21% à 20,81 euros) et Suez Environnement (+1,75% à 9,35 euros).

EADS a gagné 1,27% à 25,97 euros, dopé par le chiffre d'affaires record de 5,4 milliards d'euros pour 2011 enregistré par sa filiale, le fabricant d'hélicoptères Eurocopter.

Les valeurs défensives (peu sensibles à la conjoncture) se sont inscrites parmi les hausses de la séance à l'instar de Danone (+0,60% à 47,31 euros), Essilor (+0,67% à 56,71 euros).

"Le tout dernier point sur lequel nous devions réunir un accord était celui du rôle de la supervision de ces chambres de compensation" en Europe, a expliqué M. Barnier.

L'accord a été obtenu grâce à un compromis avec Londres qui contestait le pouvoir de l'autorité de régulation financière européenne (ESMA), étant donné que la City contrôle 75% du marché européen des dérivés et 50% du marché mondial. La chambre de compensation LCH.Clearnet, parmi les premières d'Europe, est basée à Londres.

Les droits de vote sur les procédures d'autorisation des chambres de compensation sont plus favorables aux Britanniques que précédemment, tout en maintenant le rôle de l'ESMA, auquel le Parlement européen est attaché.

Dans un communiqué, un responsable de l'ONG Oxfam, Marc Olivier Herman, a qualifié l'accord entre Etats européen

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